Clinique Mobutu de Kalemie (RDC)
Il y a 8 jours j'ai trouvé sur FB une photo actuelle de la clinique ou Raphaëlle (ma fille) est née. A l'époque le bâtijent était plus que délabrée (je n'ai pas de photo de la chambre mais faite moi confiance).
Voici la photo actuelle, au premier plan la banque de commerce qui n'existait pas à cette époque, ni l'antenne satellite bien évidemment).
puis la vue d'époque depuis la chambre ainsi que les vieux canons Krupp datant de 14-18 toujours en place derrière la clinique.
Difficile de dire si la clinique est réabillitée.
Quand le néo colonialisme se décliine en cupidité ou bêtise
Trois remarques concetrantes:
Au Bénin on trouve ne presque plus de féraille ou de déchets métalliqes. Si cela est bien pour l'écologie, première conséquence, les artisants ne trouve plus de matière première abordable. La cause, les chinois on tout raflé et transporté ces matières en Chine.
Au Togo, une plantation sécuéaire de TEK à été coupée sans prévoir de renouvellement, en cause les indiens qui ont transportés ce bois aux Indes pour les crémation.
Dans les deux cas bonjours le bilan carbone.
La cerise sur le gateau, au Togo toujours, F.Weber a obtenu la gestion d'une réserve naturelle au nord du pays. Notre écolo démago national a fait encore preuve d'unsavoir faire sans égal en commençant par interdire l'accès aux polpulaitions locales (entre autre plus de pature ou droit de chasse) sans concertation.
Ensuite il a décidé de fairte un bruli général ce qui a détruit l'éco système,,,,,,
Ce grand personnage est vraiment intéressant car lorsque le dictateur a changé, ses appuis ont disparu et maintenant tout est à l'abandon. Cette attitude qui semblerait conforme au début du 20e siècle me rappelle la période où Mr Weber faisait l'éloge d'un certain Bokasa..... Comment peut-on encotre faire confiance à un tel personnage
Chroniques de Kalemie (8)
Lors du premier semestre de 1973 nous avons effectuée quelques belles sorties à vélo, dont une ou deux avec frère Georges (directeur du GSO) se sont de bon souvenirs.
Dans cet album je présente le frère Franz, économe du couvent et coducteur du minibus. Nious devons reconnaître que son soutient à été indispensable car sa connaissance de la ville et des autorités nous a grandement facilité les délmarches. Il assurait aussi le ravitaillement car nous n'avions pas de véhicules pour aller en ville. Ginette à souvent profité de descendre en ville avec lui, enter autre les quelques mois où elle a travaillé comme bénévole à l'hôpital général. Son boy jardinier nous toréfiait le café dans un cylindre qu'il tournait à la main sur un feu de Makala (charbon de bois) dans le jardin. C'était rustique mais le café était excellent et c'est depuis ce jour que je suis accro au robusta. Pour les archides que nous achetion par gobelet décortiquées mais pas assez grillées, nous les finissions sur la cuisinière. la majorité servait à fabriquer des confiseries avec des archaides et du sucre.
Vers Pâques 73 nous sommes allé en groupe visiter la cimenterie de Kabimba. Frère Franz conduisait le minibus, makis son manque d'expérience à mené à ce qu'un des autre frère prène le volant pour descendre l'escarpement. Cette visite n'a plus été possible par la suite car quelques semaines plus ztard des millitaires attaquaient la voiture du directeur. La paie a été volée et le passager tué (le directeur a pu fuir dans la brousse. Le passager ne l'a pas suivi et l'a payé de sa vie. Depuis cet incident, les liasons ne se faisaitent plus que par bateau. Inutuke de préciser que nous n'avons jamais entendu parler de sanctions contre les coupables. On voit des paysages des la région au nord de Kalmémie. La zone entre Kaémie et la frontière avec le Burundi avait été vidée de ses habitant pour les regrouper le long des routes principales. Les trope de Mobutou pouvaient ainsi les contrôler tellement il craignait une révolte. Ce qui n'arangeait rien, les groupes vivaient sur le pays, pillant les villages et rançonnant les habitants: il volaient les biens et détruisaitent les papiers d'identité pour taxer les gens comme n'ayant pas de papiers en règles.
Une des dernière sortie en groupe fut la visite de la mine de charbon, pas de photos de l'intérieur mais de la Lukuga. La mine était encore en activité pour alimenter la cimenterie, dernier client depuis l'abandon de la vapeur pour les locomotives de la CFL.
Terminons ce chapitre avec nos premiers achats.
Chroniques de Kalemie (6)
Album des photos prise lors de notre première sortie avec Hugo (directuer des humanités) et Wilfied, prof de biologie aux humanités. La photo ci-dessous montre un jeune homme albinos, ces opersonnes étaient vraiment victiimes d'ostracisme.
Une de nos sortie à vélo avec le frère Georages (directeur du GSO) nous a mené à Moni. Ce village, très structuré et organisé par une chefferie efficace et des moyens financiers importants. Le dispensaire était tennu tous les après-midis par le frère Primus (prof de lettres aux humanités).
Nous avons également fiat quelques sorties à vélo dans la région et avant l'été 73. Par la suite la grosses de Ginette et le contrôle de l'armée (je devrais plustôt dire le pillage organisé) à rendu impossibles ou difficiles les sorties hor de la ville.
Elèves de section mécanique et famille d'un collègue
cliquez ici pour les photos d'élèves et d'un collègue zaïrois, qui a je crois été le directeur du GSO. Leurs fille est née quelques semaines après la notre, nous les retrouverons ultérieurement.
Chroniques de Kalemie (5)
Cliquez ici pour voir l'album photo des danses oragnisées en juillet 73 à l'occasion de la visite de familles de frères et d'enseignants du GSO. La fête a eu lieu dans un de villages voisin de Lubuye mais je ne me souviens pas lequel.